UNE ÉVOCATION DU 13e ARRONDISSEMENT DE 1860 AUX ANNÉES 30

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Une évocation du 13e arrondissement de 1860 aux années 30

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Le 13e dans la littérature

Littérature

Le 13e en littérature

A travers la Maison-Blanche

Les apaches de la Butte-aux-Cailles

par
Lucien Victor-Meunier

Un instant plus tard, elle était dehors dans le terrain vague qui descendait en pente rapide vers la vallée de la Bièvre...

(1907)

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La poterne des Peupliers

La vague rouge

par
J. H. Rosny Ainé

Un homme s'arrêta sur la route, près de Gentilly. Il considéra le paysage misérable et puissant, les fumées vénéneuses, l'occident frais et jeune comme aux temps de la Gaule celtique.
Si l'auteur nomme une poterne des Tilleuils, c'est bien de la poterne des Peupliers dont s'agit.

(1910)

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Rue des Peupliers

Perdues dans Paris

par
Jules Mary

Un des coins de Paris, misérable et sinistre. La longée des fortifications plantées d'arbres en double ou triple rangée, le côtoie pourtant de verdures plaisantes durant la belle saison, mais, en réalité, sépare pour ainsi dire cette région parisienne du reste du monde. Du haut de la rue des Peupliers...

(1908)

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Quartier Croulebarbe

Les esclaves de Paris

par
Émile Gaboriau

C'est là un quartier étrange, inconnu, à peine soupçonné de la part des Parisiens...
Où Emile Gaboriau fait découvrir le quartier Croulebarbe à ses lecteurs.

(1868)

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La Cité Jeanne-d'Arc

Un gosse

par
Auguste Brepson

La cité Jeanne-d'Arc est ce vaste ensemble de bâtiments noirs, sordides et lugubres percés comme une caserne de mille fenêtres et dont les hautes façades s’allongent rue Jeanne-d'Arc, devant la raffinerie Say.

(1928)

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Butte-aux-Cailles

La vague rouge

par
J. H. Rosny Ainé

L'homme suivit d'abord la rue de Tolbiac, puis s'engagea par ces voies ténébreuses, bordées de planches, de lattes et de pieux, qui montent vers la Butte-aux-Cailles. Les oiseaux des réverbères dansaient dans leurs cages de verre. On apercevait des terrains fauves, des chaînes de bosselures, des rampes de lueurs, des phares dans un trou du ciel, et, du côté de la Butte, un nuage de feu pâle évaporé sur Paris...

(1910)

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Le quartier de la Gare

Monsieur Lecoq

par
Émile Gaboriau

Le 20 février 18.., un dimanche, qui se trouvait être le dimanche gras, sur les onze heures du soir, une ronde d’agents du service de la sûreté sortait du poste de police de l’ancienne barrière d’Italie.
La mission de cette ronde était d’explorer ce vaste quartier qui s’étend de la route de Fontainebleau à la Seine, depuis les boulevards extérieurs jusqu’aux fortifications.
Ces parages déserts avaient alors la fâcheuse réputation qu’ont aujourd’hui les carrières d’Amérique.

(1869)

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"Un gosse"

roman par Auguste Brepson

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Deuxième partie

IX

Vivent les vacances !
À bas la rentrée !
Le mait' d'école à vendre,
La boutique à louer.
Pas de rouspétance :
Un coup de poing dans le nez !
V'id la récompense
Que vous méritez !...

Nous braillons cela en nous bousculant pour sortir, sous le nez des frères qui font les sourds, mais qui sourient quand même.

Les uns restent à Paris ; d'autres vont à la campagne ; d'autres — des cafards, des flatteurs, pour se faire bien voir —- à l'école des vacances.

J'y suis allé une fois, à cause des excursions que l'on m'avait tant vantées.

Quelle désillusion !

Au bout d'une heure de marche, sous l'inexorable soleil d'août, on avait échoué à la poterne Montempoivre, dans le fossé des fortifications !

Il y régnait une atmosphère étouffante chargée d'âcres effluves de terre surchauffée : pas un souffle ne remuait l'herbe rôtie parsemée de détritus et de tessons et des nuées de moustiques venaient nous harceler

Néanmoins, comme nous étions en vacances, il fallait en profiter. Les uns se mirent à jouer à saute-mouton, aux barres ; d'autres s'en allèrent tirer la soutane des frères, les suppliant avec des airs câlins et ridicules de faire une partie de ballon.

C'était des courtisans vils, jaloux les uns d'es autres, qui riaient quand les frères riaient, se précipitaient pour leur rapporter le ballon, applaudissaient à leurs beaux coups, ou bien leur faisaient des niches pour qu'ils roulassent dans l'herbe, ou encore feignaient de bouder pour qu'ils s'occupassent d'eux... et bien dépités, quand ils les laissaient tranquilles

En les regardant, je pensais, écœuré : Allez, vous avez beau faire... vous n'éviterez pas à la rentrée les beignes et les pensums !

Avec d'autres, incommodés comme moi par la température, je restai étendu dans l'herbe, m'ennuyant terriblement.

Ah ! ce que j'y pensais à mon coin du bois de Verrières !... à ma moelleuse pelouse des « Trois sapins ! »

Nous revînmes le soir, crevant de soif, de fatigue et de chaleur.

Je préfère pendant ces deux mois, vagabonder librement avec Pétard, Brocard, Gillequin, Ricaille et Camembert, ainsi nommé parce qu’il a des écrouelles, Trois-Pattes, parce qu'il boite, La Fouine parce qu’il déniche les coups à faire, et Louchébem, parce que son père est garçon boucher.

Nous sommes tous à peu près du même âge et également dépenaillés et morveux. Nous nous entendons très bien, et « falmuchons » fraternellement les « affaires ». Il y a bien parfois des chamailleries mais sans importance, comme chez les moineaux.

Nous traînons nos semelles un peu partout.

Nous allons aux fortifs dénicher des mulots ; dans le fossé, au pied de la muraille, attraper des salamandres. — Un jour j'en rapportai chez nous plein un mouchoir. Quand je l'ouvris, au grand effroi de ma grand'mère, elles s'enfuirent à travers la chambre, et, chose merveilleuse !... on n'en retrouva aucune !

Nous galopons sur la corniche au risque d’aller en bas nous rompre les os : nous tuons à coups de lance-pierres les « piafs » (moineaux) dans les arbres ou bien, nous laissant rouler le long du talus dans le fossé, nous nous engageons à la queue leu leu et à quatre pattes, dans le petit tunnel qui passe sous la route.

Il fait noir et humide, les mains tâtent des pierres visqueuses, de vieilles boites de conserve, des tessons et, à chaque instant, j’appréhende toucher le corps froid d’un serpent.

Soudain, on n’avance plus ; c’est La Fouine qui trouve quelque chose… Tout le monde pousse et braille et moi, je sens tout à coup l’angoisse m’étreindre à l’idée que la voûte pourrait s’écrouler et nous ensevelir tous !

Aussi je respire lorsque je retombe de l'autre côté, dans la lumière.

Nous tirons les cordons de sonnettes, chapardons des poignées de figues et de pruneaux à l'étalage des épiciers, grimpons au derrière des voitures, pendant que les autres, qui n'ont pu trouver place, crient : « Tapez au cul ! y a d'la morue ! »

Nous suivons les baptêmes en hurlant : « Parrain ! Marraine ! » et nous nous battons pour ramasser dans la boue des dragées en plâtre qui nous cassent les dents.

Nous mettons des pavés sur les rails des tramways, fumons des mégots, conspuons les cochers de fiacre, ou bien chantons en chœur.

Nous partons en maraude dans la banlieue, très loin, à un endroit qu'a déniché La Fouine. Nous nous y gavons de raisins noirs et, le soir, quand nous repassons la barrière avec nos faces barbouillées de jus violet, les gabelous nous regardent d'un air drôle.

Nous allons à la Seine pêcher des ablettes qui se fichent pas mal de notre épingle recourbée, et encore plus de notre appât : un gros ver qui se détend dans l'eau et se remet en pelote.

Nous prenons des bains de pieds, sans toutefois nous séparer de nos souliers que nous portons sur l'épaule, suspendus par les lacets, pour ne plus nous exposer à revenir pieds nus, comme la fois où des voyoux passant sur la berge, ramassèrent toutes les chaussures et les envoyèrent en plein mitan de l'eau !

Quelquefois nous « tirons notre coupe » au Port-à-l'Anglais, mais rarement, à cause qu'il y a aussi des « frappes » qui volent les habits.

Nous explorons le bois de Vincennes.

Nous allons au parc Montsouris jeter des pierres à la truite qui dort au fond de l'eau limpide, sur son lit de graviers ; au Jardin des Plantes, voir le boa derrière son carreau, engourdi dans sa couverture, les singes qui ont des derrières comme des tomates, se chercher les poux et les manger, faire des obscénités ou croquer des noisettes, suspendus par la queue, les crocodiles qui paraissent en tôle repoussée, le vautour qui ferme sa paupière sur une cocarde tricolore, l'hippopotame qui a l'air de suer du sang ; les ours qui se dandinent sur leur derrière d'une façon énervante...

Nous mettons des cailloux dans la trompe de l'éléphant.

Nous contemplons les lions ébouriffés et mélancoliques, les hyènes fétides et boiteuses et je fixe dans les yeux la panthère qui bâille pour l'hypnotiser, comme dans « L'homme aux yeux d’acier » de Louis Noir, car, à présent, je lis énormément : j’ai déjà dévoré Les mystères de Paris, La Dame de Montsoreau, Les trois mousquetaires, Le Bossu, que m'a prêtés Mme Pélissier, notre voisine, la blanchisseuse.

Nous ne manquons pas d'assister au repas de l'otarie, qui sort toute vernie de l'eau, pour happer au vol, d'une simple inflexion de cou, les harengs qui passent dans l'air comme des lames d'argent. Et pour finir, nous emparant du Labyrinthe jusqu'à la Lanterne, nous en dévalons les allées en poussant des cris aigus et nous nous laissons tomber, essoufflés, sur le banc de pierre, à l'ombre du grand cèdre où rêva l'âme douloureuse de Michelet.

Avec de vicieuses gamines, nous allons dans les terrains vagues, et, loin des regards, sur le sol crayeux, parmi les herbes folles, les culs de bouteilles et les détritus, nous tentons le péché.

Nous hantons les gouapeurs qui jouent à la raie, à la banque ou à la passe, dans les coins solitaires des boulevards extérieurs.

Ce sont des voyous dangereux à rouflaquettes et à casquettes aplaties, souples comme des jaguars, et qui, pour un oui ou un non, se « donnent ça » à coups de « boule » et même à coup de « sion ».

Cependant tous craignent Jean Pommier, dit Jean Pomme. C'est, une petite terreur redoutable, râblée et agile, avec un pantalon à pattes d'éléphant, au velours moucheté comme une peau de panthère, un large « brise-homme » rouge qui lui serre fortement la taille, une « grivelle » à visière cassée et des espadrilles blanches à lacets multicolores.

Il a le teint frais, les yeux noirs et durs, la lèvre sanglante et les narines dilatées comme celles d'un tigre. Il porte sur la joue cinq points de tatouage, indice qu'il fait partie de la bande des « Cinq Diamants » et, autour du poignet, en guise de bracelet, un serpent tatoué également.

Il est l'amant de Carmen, une petite pierreuse agressive, brune comme une Andalouse et dont la poitrine et les hanches onduleuses mettent nos sens en rumeur.

Il marche le clos rond, les mains dans les poches, en se dandinant, et le coup de « tronche » de Jean Pomme est foudroyant et terrible comme un boulet de canon.

Nous l'admirons tous. Nous l'imitons dans son allure et « jactons » argot comme lui d'un air canaille. Nous disons, la voix autoritaire et brève : « Calte !... ou j'te crève ! », ou : « Refile-moi une sèche, gonce », ou : « Balance-moi un « leude », un « loitre », un « latqué », ou un « linve ».

Pour s'enfuir, nous disons : « Se casser », « mettre les cannes » ou « les voiles » ; pour manger : « becqueter » ou se « taper le mou » ; pour boire « picter » ou « piver » ; pour regarde : « châsse » ; pour viens : « radine » et pour oui : « gy ! »

Nous mâchons cette langue, voluptueusement, comme un fruit âpre, et nous voudrions bien tous être plus vieux et nous appeler Jean Pomme.

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Un gosse (1927)

roman par Auguste Brepson (1884-1927)

Préface par André-Charles Mercier

Première partie

  • Chapitre 1
  • Chapitre 2
  • Chapitres 3 et 4
  • Chapitre 5
  • Chapitre 6
  • Chapitre 7
  • Chapitre 8 : Boulevard d'Italie
  • Chapitre 9 : Rue de la Glacière
  • Chapitre 10 : A la Butte-aux-Cailles
  • Chapitre 11 : La cité Jeanne d'Arc
  • Chapitres 12 et 13 : La vie, cité Jeanne d'Arc
  • Chapitre 13 (suite) : Le marché Saint-Médard
  • Chapitre 14 : La mort du père
  • Chapitre 14 (suite) : Le marchand de jouet de la rue Nationale
  • Chapitre 15 : Noël
  • Chapitres 16 et 17

Deuxième partie

  • Chapitre 1 : La rue Jeanne d'Arc
  • Chapitre 2 : Chez les biffins
  • Chapitre 3
  • Chapitre 4 : Rue Clisson
  • Chapitre 5
  • Chapitre 6 : Sur la place Jeanne-d'Arc
  • Chapitres 7 et 8 : Quatorze juillet, place Nationale
  • Chapitre 9
  • Chapitre 10 : Du côté de la Bièvre
  • Chapitre 11
  • Chapitre 12
  • Chapitre 13
  • Chapitres 14 et 15

Le texte reproduit est celui paru dans l'Œuvre du 18 janvier au 16 février 1936

Le 13e en littérature

Rue des Cinq-diamants

La criminelle

par
Jules Lermina

Un plus érudit découvrira l'origine de ce nom singulier, la rue des Cinq-Diamants.
L'étude consciencieuse qui a été faite pour le vieux Paris tentera quelque explorateur des anciennes banlieues annexées : et quel champ plus vaste sera offert à sa curiosité que l'étrange et hideux quartier de la Butte-aux-Cailles ?

(1881)

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Butte-aux-Cailles

Les apaches de la Butte-aux-Cailles

par
Lucien Victor-Meunier

Très peu de Parisiens, assurément, connaissent la « Butte-aux-Cailles ». C'est très loin, très loin, passé la place d'Italie, au diable dans ces régions où l'on ne va pas...

(1907)

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Butte-aux-Cailles

Madame Sept-Quatre

par
William Cobb
(Jules Lermina)

En tournant le dos à la Seine, à la hauteur du pont des Arts, et en s'engageant en ligne droite sur la rive gauche, on laisse à droite le cimetière Montparnasse et on parvient aux anciens boulevards extérieurs. Là se trouve le boulevard d’Italie et l’ex barrière du même nom.
À deux pas, un peu sur la droite, s’étend l’un des quartiers les plus curieux et les moins connus de Paris.
C’est la butte aux Cailles.

(1873)

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De la place d'Italie à la Bièvre via l'avenue de la soeur Rosalie et la ruelle des Reculettes

Le faiseur de momies

par
Georges Spitzmuller et Armand Le Gay

Dans ce roman paru en feuilleton dans Le Matin, Georges Spitzmuller et Armand Le Gay emmènent leur lecteur sur la piste de M. Ducroc, chef de la sûreté, pour qui le XIIIe arrondissement n'avait pas de secret.

(1912)

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Rue du Dessous-des-Berges

La dame de pique

par
Jules de Gastyne

Il existe à Paris, dans les quartiers perdus, des rues mornes et désertes qu'on traverse avec un sentiment de stupeur.

(1906)

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A travers la Maison-Blanche

Les apaches de la Butte-aux-Cailles

par
Lucien Victor-Meunier

Un instant plus tard, elle était dehors dans le terrain vague qui descendait en pente rapide vers la vallée de la Bièvre...

(1907)

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La poterne des Peupliers

La vague rouge

par
J. H. Rosny Ainé

Un homme s'arrêta sur la route, près de Gentilly. Il considéra le paysage misérable et puissant, les fumées vénéneuses, l'occident frais et jeune comme aux temps de la Gaule celtique.
Si l'auteur nomme une poterne des Tilleuils, c'est bien de la poterne des Peupliers dont s'agit.

(1910)

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Saviez-vous que... ?

À la séance du 30 octobre 1879 du Conseil Général de la Seine présidée par M. Réty, M. Georges Martin déposait une pétition d'industriels du 13e arrondissement demandant la création d'une gare de marchandises à la jonction de la rue Baudricourt et de la rue Nationale prolongée. Cette pétition, reprise par M. Georges Martin sous forme de projet de vœu fut renvoyée à la commission desdits vœux.
Ce sera la « gare des Gobelins », finalement issue d’autres projets, qui sera ouverte le 15 mai 1903 seulement et restera en fonctionnement jusqu’en 1991.

*
*     *

En 1879, les écoles chrétiennes de la rue du Moulin des Prés, de la rue Jeanne d'Arc et du boulevard de l'hôpital furent laïcisées à la suite de la décision du conseil municipal. Elles furent remplacées par les écoles libres des 61 rue Dunois, 93 avenue de Choisy et 43 rue Corvisart. Une école chértienne tenue par des soeurs fut laicisée et remplacée par une école libre située 35 rue Jenner.

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*     *

Depuis le lundi 26 août 1935, et dans un premier temps à titre d'essai, la circulation des véhicules s'effectue à sens unique, d'est en ouest, sur chacune des rampes de la voûte dite « Poterne des Peupliers ».

*
*     *

Eugène Oudiné, sculpteur et graveur en médailles, membre; de l'Académie des beaux-arts de Bruxelles, né le 1er janvier 1810, est décédé en avril 1887. Son nom était populaire car on pouvait lire sa signature sur toutes les pièces de monnaie frappées depuis 1870. Prix de Rome en 1851, il avait été élève de Gallé, de Petitot et d'lngres. Vers 1844, il fut attaché au Timbre et à la Monnaie. Ce qu'on connaît le plus de lui, ce sont les effigies des pièces de cent sous. Oudiné a pourtant exécuté bon nombre de statues.
La ville de Paris l'honora en 1934 en donnant son nom à la rue Watt prolongée.

L'image du jour

La place Pinel vue de la rue Esquirol avec un aperçu de la rue Nationale de l'autre côté du métro.

L'entrée de la cité Doré sur la place Pinel était situé à gauche.

© paris-treizieme.fr pour la transcription du texte

HISTOIRE DES QUARTIERS

  • La Salpêtrière
  • La Gare
  • Maison Blanche
  • Croulebarbe

ACCES PAR NOM

  • Nomenclature des rues
  • Liste des auteurs

LES DRAMES DU 13e

  • Le drame de la rue Albert
  • Le drame de la rue de l'Espérance
  • Le drame de la rue Vandrezanne
  • Le drame du quartier de la Gare
  • Un drame du terme
  • Tous les drames...

LE TREIZIÈME AVANT LE 13e

  • Le Petit-Gentilly (1820)
  • De la difficulté d’être le treizième arrondissement
  • La bergère d'Ivry (1827)
  • L'abattoir de Villejuif (1812)
  • Sommaire complet

LE TREIZIÈME EN 1860

  • Notice administrative, historique et municipale sur le XIIIe Arrondissement par Ph. Doré fils

ACCÈS THÉMATIQUES

  • L'aménagement du 13e
  • Les grandes voies du 13e
  • La petite ceinture dans le 13e
  • Le Métropolitain dans le 13e
  • Les tramways dans le 13e
  • La gare d'Austerlitz
  • Le puits artésien de la Butte-aux-Cailles
  • La place d'Italie
  • La cité Doré
  • La cité Jeanne d'Arc
  • Le passage Moret
  • L'asile Nicolas-Flamel
  • Les hôpitaux de la Pitié et de la Salpêtrière
  • Les fouilles archéologiques dans le 13e
  • Le Siège de Paris (1870-71)
  • Le 13e sous la Commune
  • La catastrophe de la rue de Tolbiac (20 oct. 1915)
  • Le jardin des Gobelins
  • La manufacture des Gobelins
  • La "Folie Neubourg"
  • Le marché aux chevaux
  • Les grandes eaux du boulevard Kellermann
  • Ateliers, fabriques et petits métiers du XIIIe
  • Chiffons et chiffonniers
  • Bals de Paris, bals de barrière, cabarets, bouges et assommoirs
  • L'épidémie de la Maison-Blanche (1890)
  • Les étrangleurs des Gobelins
  • Sur les communes limitrophes
  • La zone dans le 13e

VIDÉOS

  • Auguste Lançon et le 13e
  • Marville, la rue de Tolbiac
  • Quai de la Gare, janvier 1910
  • La place Nationale
  • Le marché aux chevaux

L'image du jour


Le feuilleton


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