UNE ÉVOCATION DU 13e ARRONDISSEMENT DE 1860 AUX ANNÉES 30

  • Accueil
  • Lieux
  • Faits divers
  • Dans la presse
  • Les drames du 13e
  • Un jour dans le 13e
  • La Bièvre
  • Promenades
  • Littérature
  • Le 13e avant le 13e
  • Feuilleton
  • Plans


Une évocation du 13e arrondissement de 1860 aux années 30

  • ACCUEIL
  • LIEUX
  • FAITS DIVERS
  • DANS LA PRESSE
  • UN JOUR DANS LE 13e
  • LA BIEVRE
  • PROMENADES
  • LITTÉRATURE
  • LE 13e AVANT LE 13e
  • FEUILLETON
  • PLANS

Le 13e dans la littérature

Littérature

Le 13e en littérature

Ruelle des Reculettes

Les Monstres de Paris

par
Paul Mahalin

Le noctambule par goût ou par nécessité — comme Paris en a tant compté depuis Gérard de Nerval jusqu'à Privat d'Anglemont — qui se serait aventuré, par une nuit boréale de novembre dernier, à l'une des embouchures du passage des Reculettes, y aurait éprouvé l'impression d'un rêve persistant à travers la veille, et s'y serait cru transporté dans ce monde de la chimère et du fantôme...

(1879)

Lire


Quartier Croulebarbe

Robespierre

par
Henri-Jacques Proumen

Il pouvait avoir cinq ans, ce petit Riquet de la rue Croulebarbe. On lui en eût donné quatre tout au plus, tant il était fluet Son pauvre petit corps se dandinait sur deux longues pattes de faucheux qui prenaient assise dans deux godasses démesurées...

(1932)

Lire


L'octroi de la porte d'Italie

Le drame de Bicêtre

par
Eveling Rambaud et E. Piron

Grâce à l'or du faux baron de Roncières, Paul apporta l'abondance dans la maison de la rue du Moulinet.
On y fit une noce qui dura huit jours.
Perrine avait déserté son atelier de blanchisseuse. Elle tenait tête aux deux hommes, le verre en main.

(1894)

Lire


De la ruelle des Reculettes au passage Moret via la ruelle des Gobelins

Le faiseur de momies

par
Georges Spitzmuller et Armand Le Gay

Il était arrivé à l'angle pointu formé par la manufacture des Gobelins où la voie bifurquait ; à droite la rue Croulebarbe continuait, à gauche c'était la ruelle des Gobelins.

(1912)

Lire


La Butte-aux-Cailles

Coeur d'enfant

par
Charles de Vitis

— Voyons d’abord du côté de la Butte-aux-Cailles, pour tâcher de trouver un logement.
Jacques connaissait l’endroit pour y être venu avec Fifine, une fois ou deux, du temps qu’il vivait chez ses parents.
C’était un quartier misérable situé à proximité de la place et du boulevard d’Italie ; on y arrivait par la rue du Moulin-des-Prés.

(1899)

Lire


La cité Doré

Coeur d'enfant

par
Charles de Vitis

À la hauteur de la place Pinel et de l’abattoir, entre le boulevard de la Gare et le boulevard de l’Hôpital, s'étend un vaste terrain qui est loué par bail à divers locataires. Le type même de la saleté et de la misère imprévoyante se trouve dans le rassemblement de masures, coupé de ruelles en zigzag et qu’un hasard ironique fait appeler cité Doré. Les cours des miracles devaient être ainsi.

(1899)

Lire


Rue du Banquier

Madame Gil-Blas

par
Paul Féval

Le fiacre tournait court l'angle de la rue du Banquier.
Cela s'appelle une rue, mais c'est en réalité une manière de chemin pratiqué entre des murs de jardins. Il n'y a pas une âme en plein jour.

(1856)

Lire

 Le Drame de Bicêtre - 1894

Extrait précédent

Le Drame de Bicêtre

Le Petit-Journal — 3 et 4 avril 1894

Troisième partie
Le dévouement de Cécile
Chapitre XXV

[...]

— Vous ne voulez rien prendre avant de partir ?

— Non... Hé, Bob !

Le chien bondit dehors en se secouant tous les membres, du museau à l'extrémité de la queue. Il suivit allègrement la voiture qui emportait son maître.

Midoux alla d'abord au point le plus rapproché, à la station de Vitry-sur-Seine. Aucun tramway n'était là.

On lui dit de se rendre immédiatement à Bicêtre, où se trouvait le grand centre de remisage. Là, dans l'espace d'une heure et demie, tous les conducteurs de la ligne défileraient tour à tour devant lui, pour prendre leur service.

Maintenant, il était possible qu'il rencontrât sur la route le premier tramway du matin, qui viendrait commencer son service.

C'est ce qui arriva.

Honoré fit signe au cocher d'arrêter en lui criant :

— Une seconde seulement. J’ai un mot à dire à votre conducteur.

L'affliction peinte sur le visage de ce voyageur impressionna le cocher qui tira les guides.

Honoré avait préparé sa question.

Hier soir, à sept heures, un tramway de Vitry a chargé en pleine campagne, entre Vitry et Bicêtre, une petite fille de six ans avec une ou deux autres personnes. Est-ce vous ?

— Pour sûr, ce n'est pas moi, dit le conducteur.

— Merci.

Bob avait flairé les abords de la plate-forme de la voiture, puis s'en était éloigné.

Il s'élança de nouveau à la suite du cabriolet de Midoux.

Ils arrivèrent bientôt sur la route de Fontainebleau, à la grande remise de Bicêtre.

Midoux renouvela sa question aux deux premiers conducteurs qui se présentèrent et n'obtint que des réponses négatives.

Le troisième réfléchit un instant.

— Attendez donc, dit-il. Je me souviens parfaitement. J’ai sonné deux voyageuses qui sont montées dans ma voiture à l'endroit et à l'heure que vous désignez.

— Deux voyageuses ! interrompit vivement Honoré. Vous voulez dire une femme et une fillette ?

— Oui, monsieur, une jeune femme et une enfant qu'elle portait dans ses bras. Comme elle la gardait sur ses genoux, je lui ai même fait observer que l'enfant avait plus de trois ans. Elle m'a répondu qu'elle payait deux places, mais qu'elle conservait l'enfant couchée dans ses bras., parce que la petite était malade.

— Malade !... L'enfant était malade ?

— C'est ce que sa mère m'a dit.

— Sa mère !... hurla Midoux indigné. Ce n'était pas sa mère, cette misérable créature qui vous a-parlé, c’était une voleuse, une horrible coquine qui m'a pris ma fille et qui l'a emportée.

— Excusez-moi, monsieur, je ne sais pas.

— Avez-vous vu l'enfant ? Comment était-elle ?

— Je ne puis pas vous dire. La petite n’a pas bougé jusqu'à la gare de la Maison-Blanche, où la femme est descendue avec elle. Sa figure n'était pas visible, elle était recouverte d'un fichu bleu.

— C'est cela, pour qu'on ne la remarque pas.

— Seulement, j'ai cru m'apercevoir qu'elle avait les cheveux blonds, et qu'elle avait des vêtement noirs tout neufs.

— Oh ! c'est elle, c'est bien elle !... avec un chapeau noir de feutre, garni de plumes noires ?

— Oui, monsieur.

— Plus de doute, mon Dieu !

— J'ai même été frappé de deux choses.

— Lesquelles ? demanda Honoré en proie à la plus grande agitation.

— C'est d'abord l'endroit désert où cette femme, ayant une enfant sur les bras, attendait le tramway allant sur Paris. C'est ensuite le deuil porté par l'enfant alors que celle qui se disait sa mère avait un costume voyant et un chapeau de fantaisie.

— Ah ! la misérable ! la misérable !... Quel peut être ce monstre de femme, et que veut-elle faire de ma chère petite Rose ? Et le malheureux père essuya de nouvelles larmes le long de ses joues.

À ce moment, Bob se mit à aboyer fortement dans le fond de la remise. Honoré se hâta de le rejoindre avec le conducteur.

Le Chien, toujours jappant, sautait de la plate-forme d’un tramway dans l'intérieur ; il roulait sa tête sur un coin de la banquette, puis il revenait au galop sur la plate-forme.

— C'est ma voiture, dit le conducteur. La femme était assise, avec l'enfant sur les genoux, à l'endroit où votre chien pose sa tête.

— Excellent Bob, fit Midoux, il la devine partout où elle a passé. Rose et lui, monsieur, ils jouaient du matin au soir, ils s'adoraient. C'est lui, le brave animal, qui m'a guidé jusqu'ici.

— Il ne manque pas de bêtes comme ça, répondit le conducteur, qui valent mieux que bien des gens.

— Vous avez cent fois raison, mon ami. Dites-moi, pourriez-vous me dépeindre la figure et l'habillement de cette abominable femme ?

— D'une façon précise, non. Nous voyons tant de monde entrer, sortir. Je puis vous dire pourtant que c'est une femme jeune, assez grande, très brune et bien prise de sa personne.

— Jeune ? Quel âge environ ?

— Vingt-quatre à vingt-six ans.

— C'est inconcevable. Et la physionomie et les vêtements ?

— Assez belle fille, air ni bon ni mauvais, robe claire, chapeau marron… Je m'arrête là pour ne pas vous induire en erreur.

— Je vous suis mille fois obligé de votre complaisance.

— A votre service, monsieur.

— Ah ! pardon, encore une question.

— Faites.

— Vous m'avez dit qu'elles étaient descendues de votre voiture en face de la gare de la Maison-Blanche. Savez-vous de quel côté elles se sont dirigées ?

— Tout droit sur la gare, où elles sont entrées.

— Merci encore une fois.

Honoré repartit comme une flèche dans la direction de Paris. Bob galopait à côté du cheval, qu'il excitait de temps en temps, en lui sautant au poitrail.

Honoré fit halte avenue d'Italie, devant la station du chemin de fer de Ceinture. Il sauta sur le trottoir en disant :

— Cherche, Bob, cherche !

Cette exhortation était superflue. L'excellente bête était déjà en campagne, flairant le soi et suivant sa piste dans l'intérieur de la gare.

Midoux venait d'être saisi d'une nouvelle inquiétude. Dans la gare, il y a deux escaliers gigantesques, descendant au fond de la tranchée où passe le chemin de fer, entre deux quais d'embarquement. L'escalier de droite conduit aux trains qui se dirigent sur Grenelle, Auteuil, les Batignolles. L'escalier de gauche mène aux trains allant sur Bercy, Bel-Air, Ménilmontant.

Quelle direction la voleuse avait-elle suivie avec sa douce proie ? Comment le savoir ?

Demander un renseignement quelconque à la buraliste qui voit circuler chaque jour des masses de voyageurs devant son guichet, il était inutile d'y songer.

Ce renseignement lui fut encore fourni par son chien.

En entrant dans la gare, Bob flaira les dalles jusqu'au guichet et là, il demeura une demi-minute, hésitant, embarrassé.

Puis il s'engagea résolument dans la baie ouverte pour l'escalier de droite, et il le descendit jusqu'au quai d'embarquement, où il s'arrêta net, le nez au-dessus de la voie.

Honoré, qui l'avait accompagné, savait ce qu'il voulait savoir.

Il remonta péniblement l'escalier en murmurant :

— Où aller maintenant ? Comment pousser plus loin les recherches ? J'ai fait un pas cette nuit ; j'ai fait un pas ce matin... À quoi cela m'avance-t-il ?... Ma chère mignonne, ma Rose adorée, où es-tu ?

Comme il prononçait tout haut ces dernières paroles avec des larmes dans la voix et qu'il se trouvait sur le trottoir de l'avenue d'Italie, les passants le considérèrent avec surprise d'abord, ensuite avec pitié.

Un homme qui pleure, un homme de l'envergure de Midoux qui montre au public un visage sillonné de larmes, c'est un spectacle digne d'émotion.

Le laitier s’aperçut de l'attention dont il était l'objet. Sans en rechercher l'explication, monta vite en voiture, tourna son cheval du côté de Villejuif et s'éloigna au grand galop.

[...]

Eveling RamBaud et E. Piron


Sur le chemin de fer de ceinture :

Les projets et les travaux de construction

  • Ligne de ceinture rive gauche : le tracé définitif (janv. 1861)
  • Le viaduc de la Bièvre (Le Siècle, 23 avril 1861)
  • Gares et Stations du chemin de fer de ceinture rive gauche (1862)
  • Le point sur les travaux de construction (Le Siècle, 20 juin 1864)
  • Les travaux du chemin de fer de ceinture rive gauche (Le Siècle, 4 septembre 1864)
  • Les travaux de la petite ceinture de l'ancien hameau du Bel-Air au pont Napoléon (avril 1865)
  • Les travaux de la petite ceinture entre la route de Chatillon et la Seine (juillet 1865)
  • Les travaux du chemin de fer de Ceinture : du pont Napoléon au tunnel de Montsouris (1866).
  • Un nouveau chemin de fer (1867)
  • Stations de Montrouge, Gentilly et Maison-Blanche (1868)
  • La nouvelle gare de la Maison- Blanche (1880)
  • La gare du Château-des-Rentiers (1902)

La petite ceinture en fonctionnement

  • Ouverture du chemin de fer de ceinture (1867)
  • Le chemin de fer de ceinture (Théophile Gautier, 1870)
  • De Paris à Paris par le chemin de fer de ceinture (1873)
  • Affreux accident (1875)
  • Horrible accident à la gare de la Maison-Blanche (1903)
  • Locomotive emballée (1909)
  • Le Journalier a-t-il été jeté sur la voie du Chemin de Fer ? (1910)
  • De Vincennes aux Batignolles en faisant le grand tour (1930)

La fin du traffic "voyageurs"

  • Les trains de voyageurs de la Petite Ceinture cesseront de fonctionner dimanche prochain (1934)

Le 13e en littérature

La prairie de la Glacière

Sans Famille

par
Hector Malot

C’est un quartier peu connu des Parisiens que celui qui se trouve entre la Maison-Blanche et la Glacière ; on sait vaguement qu’il y a quelque part par là une petite vallée, mais comme la rivière qui l’arrose est la Bièvre, on dit et l’on croit que cette vallée est un des endroits les plus sales et les plus tristes de la banlieue de Paris. Il n’en est rien cependant, et l’endroit vaut mieux que sa réputation.

(1878)

Lire


Butte-aux-Cailles

Bouscot

par
Gaston Chéreau

Il habitait tout là-bas, aux Gobelins, dans un pâté de bicoques en carton que bousculent des rues à noms magnifiques rue des Cinq-Diamants, rue de l'Espérance, rue de la Butte-aux-Cailles…

(1909)

Lire


Quartier de la Gare

Un crime passionnel

par
J. H. Rosny

Je songe à l'histoire de la petite Jeannette, qui vivait dans le noble quartier de la Gare.

(1908)

Lire


La rue Jonas

Zigomar - La femme rousse

par
Léon Sazie

L'antre de « la Baleine » donnait sur la rue Jonas, comme nous l'avons dit. Cette rue au nom biblique se trouvait dans un grouillement de petites voies étroites, courtes, basses, tortueuses, qui forment un coin à part dans ce quartier.

(1910)

Lire


La Cité Jeanne d'Arc

Les mémoires de Rossignol

par
Rossignol

Ma « clientèle » de la rue Sainte-Marguerite disparaissait peu à peu. Elle s'était réfugiée cité Doré, qui donne rue Pinel et boulevard de la Gare, ou cité Jeanne-d'Arc, près de la rue Nationale, dans le treizième arrondissement.

(1894)

Lire


Les Gobelins

Zizine

par
Alexandre Arnoux

Dans le quartier des Gobelins, un gymnase. Des athlètes donnent une représentation suivie par une foule fervente. Dans cette foule un couple a attiré l’attention du narrateur. Elle, Zizine, femme superbe ; lui, petit, contrefait, douloureux. Milarot, champion du monde, est dans la salle.

(1938)

Lire


La Folie Neubourg

Le faiseur de momies

par
Georges Spitzmuller et Armand Le Gay

Le promeneur qui remonte le boulevard Auguste-Blanqui dans la direction de la place d'Italie, est frappé par l'aspect pittoresque d'une vieille maison enclose dans le triangle formé par ce boulevard, la rue Edmond-Gondinet et la rue Corvisart.

(1912)

Lire

Saviez-vous que... ?

Le point culminant du sol naturel du 13e arrondissement dépasse légèrement les 63 mètres. Il est situé au milieu de la rue Vandrezanne. Le point le plus bas est sur les quais de Seine à proximité du pont National. Si l'on prend en compte les espaces situés au delà du périphérique, le point culminant serait situé avenue de la porte de Gentilly en lisièse de cette commune. Les prés submersibles de la Glacière étaient à une côte moyenne de 35,80 mètres.

*
*     *

Gustave Geffroy (1855-1926), administrateur de la manufacture nationale des Gobelins, était aussi l'un des dix membres fondateurs de l'Académie Goncourt.

*
*     *

La surface du 13è arrondissement est exactement de 714,6 hectares.

*
*     *

Le monument en bronze honorant la mémoire du Dr Philippe Pinel, destiné à la place de la Salpêtrière, conçu par le sculpteur bien connu Ludovic Durand, fut exposé pour la première fois en octobre 1880 devant le palais de l’Industrie.
Pour son érection, une souscription fut ouverte, avec un comité composé de MM. Lasègue, Baillarguer, Legrand du Saulle, Bail, Falret, Blanche, Mollet, A. Voisin, Ch. Loiseau et Alphand. Le ministère des beaux-arts et la Ville de Paris donnèrent une subvention de 10.000 francs.
Faut-il rappeler que c’est en 1783 que cet illustre docteur fit tomber les chaines des aliénés ?

L'image du jour

Boulevard Arago vers le carrefour des Gobelins

La création du boulevard Arago fut décidé dans les années 1850 comme moyen de développement du 12e arrondissement d'alors et comme une branche du grand boulevard Saint-Marcel reliant les chemins de fer de Lyon et d'Orléans avec le chemin de fer de l'Ouest et toute la partie sud-ouest de Paris. Ce devait être une voie de 40 mètres de largeur bordée d'une double rangée de plantation traversant "un désert d'immenses terrains vagues qui s'animera et se peuplera très promptement".
Le nom de la voie initialement retenu était Boulevard de la Santé.  ♦

© paris-treizieme.fr pour la transcription du texte

HISTOIRE DES QUARTIERS

  • La Salpêtrière
  • La Gare
  • Maison Blanche
  • Croulebarbe

ACCES PAR NOM

  • Nomenclature des rues
  • Liste des auteurs

LES DRAMES DU 13e

  • Le drame de la rue Albert
  • Le drame de la rue de l'Espérance
  • Le drame de la rue Vandrezanne
  • Le drame du quartier de la Gare
  • Un drame du terme
  • Tous les drames...

LE TREIZIÈME AVANT LE 13e

  • Le Petit-Gentilly (1820)
  • De la difficulté d’être le treizième arrondissement
  • La bergère d'Ivry (1827)
  • L'abattoir de Villejuif (1812)
  • Sommaire complet

LE TREIZIÈME EN 1860

  • Notice administrative, historique et municipale sur le XIIIe Arrondissement par Ph. Doré fils

ACCÈS THÉMATIQUES

  • L'aménagement du 13e
  • Les grandes voies du 13e
  • La petite ceinture dans le 13e
  • Le Métropolitain dans le 13e
  • Les tramways dans le 13e
  • La gare d'Austerlitz
  • Le puits artésien de la Butte-aux-Cailles
  • La place d'Italie
  • La cité Doré
  • La cité Jeanne d'Arc
  • Le passage Moret
  • L'asile Nicolas-Flamel
  • Les hôpitaux de la Pitié et de la Salpêtrière
  • Les fouilles archéologiques dans le 13e
  • Le Siège de Paris (1870-71)
  • Le 13e sous la Commune
  • La catastrophe de la rue de Tolbiac (20 oct. 1915)
  • Le jardin des Gobelins
  • La manufacture des Gobelins
  • La "Folie Neubourg"
  • Le marché aux chevaux
  • Les grandes eaux du boulevard Kellermann
  • Ateliers, fabriques et petits métiers du XIIIe
  • Chiffons et chiffonniers
  • Cabarets, bouges et assommoirs
  • L'épidémie de la Maison-Blanche (1890)
  • Les étrangleurs des Gobelins
  • Sur les communes limitrophes
  • La zone dans le 13e

VIDÉOS

  • Auguste Lançon et le 13e
  • Marville, la rue de Tolbiac
  • Quai de la Gare, janvier 1910
  • La place Nationale
  • Le marché aux chevaux

L'image du jour


Le feuilleton


A propos de ce site

Mentions légales

Politique de confidentialité

Recherche

Contact


© paris-treizieme.fr 2010-2023

Suivre @ParisTreizieme