UNE ÉVOCATION DU 13e ARRONDISSEMENT DE 1860 AUX ANNÉES 30

  • Accueil
  • Lieux
  • Faits divers
  • Dans la presse
  • Les drames du 13e
  • Un jour dans le 13e
  • La Bièvre
  • Promenades
  • Littérature
  • Le 13e avant le 13e
  • Feuilleton
  • Plans


Une évocation du 13e arrondissement de 1860 aux années 30

  • ACCUEIL
  • LIEUX
  • FAITS DIVERS
  • DANS LA PRESSE
  • UN JOUR DANS LE 13e
  • LA BIEVRE
  • PROMENADES
  • LITTÉRATURE
  • LE 13e AVANT LE 13e
  • FEUILLETON
  • PLANS

Près des fortifications

Le drame du boulevard Masséna

Une effroyable tragédie, dont le dénouement n'est que trop prévu, met en ce moment en émoi les habitants de la partie du treizième arrondissement qui confine aux fortifications. (1882)

Au Deux-Moulins

Le vin, l'amour et le tabac

Le vin, l'amour et le tabac peuvent avoir leur agrément comme refrain du bivouac, même à l’Opéra-Comique ; mais voilà un militaire qui, pour le moment n’a pas à s’en louer dans la vie réelle. Le vin, l’amour et le tabac lui coûtent son porte-monnaie, ses galons de sergent qu’on lui a retirés et sa liberté (1861)

Quartier de la Maison-Blanche

Sanglante rupture

Un drame s'est déroulé, hier soir, dans un débit de vins du quartier des Gobelins, rue de la Colonie, 66.
Il était environ sept heures.
Soudain, un cocher, lâchant son « zanzi » releva la tête vers la rue :
— Tiens Victor ! (1903)

Boulevard Masséna

Deux bœufs chez le marchand de vins

Une aventure singulière est arrivée hier matin, à neuf heures, boulevard Masséna.
Un marchand de bestiaux, M. Etienne Clerc, conduisait un troupeau composé de douze bœufs destinés à être embarqués à la gare de la Glacière. (1896)

Les tramways du sud-est de Paris

On vient de commencer, entre le square de Cluny et la place Maubert, la pose des rails de la ligne qui doit relier la région sud-est de la banlieue de Paris aux deux grandes voies de la rive gauche, le boulevard Saint-Michel et le boulevard Saint-Germain. (1876)

Rue Baudricourt

Il est question d'élargir et de régulariser la rue Baudricourt, à Ivry. C'est dans cette rue, on ne l'a pas oublié, qu'eut lieu, le 25 mai de la Commune, une résistance désespérée. Il y avait là, entre autres moyens de défense, une énorme barricade... (1873)

Terrible orage à Paris

Le temps qui, depuis le matin, était, hier, très chaud et devenu vers midi tellement lourd et orageux que l'air était presque irrespirable. On ne voyait que passants s'essuyant le front avec la lassitude et les cocher protéger la tête de leurs chevaux avec des chapeaux de paille... (1901)

Une rue insalubre

Pestilentielle et défoncée, avec sa chaussée parsemée d'immondices, la rue Philibert-Lucot est la plus sale du treizième arrondissement. (1911)

27 janvier 1912

Deux conduites d'eau éclatent boulevard Kellermann

4 mai 1924

Inauguration de la piscine de la Butte aux Cailles

14 juillet 1881

La fête nationale dans le 13e

23 octobre 1938

Inauguration du monument aux mères françaises

 

22 juillet 1934

Le service voyageurs de la petite ceinture s'achève dans le 13e

15 février 1930

Inauguration de la ligne du métro « Carrefour de l’Odéon-Place d’Italie »

23 juillet 1909

Une locomotive emballée tombe rue du Chevaleret

9 juin 1936

Inauguration du dernier tronçon de la rue Jeanne d'Arc

 

Le 13e dans la presse...

Dans la presse...

DANS LA PRESSE...

Rue Baudricourt

Il est question d'élargir et de régulariser la rue Baudricourt, à Ivry. C'est dans cette rue, on ne l'a pas oublié, qu'eut lieu, le 25 mai de la Commune, une résistance désespérée. Il y avait là, entre autres moyens de défense, une énorme barricade... (1873)

Lire la suite


La Ville de Paris osera-t-elle jeter à la rue les locataires du passage Moret ?

La Ville de Paris, qui loue pour rien les luxueux pavillons du Bois de Boulogne aux jouisseurs et aux parasites, veut expulser de malheureux travailleurs de logements peu confortables certes, mais pour lesquels ils paient un lourd loyer. (1927)

...


La Ville de Paris est parvenue à faire expulser les locataires

Les locataires n'étaient pas plutôt dans la rue que des démolisseurs se mettaient à l'ouvrage pour le compte d'un garage Renault qui fait procéder à des agrandissements.
Ainsi les limousines des exploiteurs seront à l'abri et les locataires logeront où et comme ils pourront. (1927)

...


Dans le passage Moret où règne la misère

Que l'on démolisse les taudis, nids à tuberculose qui pullulent dans la « Ville-Lumière », nous n'y trouverons rien redire, au contraire ! Mais que sous prétexte d'assainissement, comme cela s'est produit passage Moret, on expulse, en 21 jours, au profit d'un garage, des malheureux que l’on a finalement « logés » dans des taudis sans nom, c'est un véritable scandale ! (1927)

...


Oasis faubourienne

Tout un coin de Paris est en train de se modifier singulièrement. Huysmans ne reconnaîtrait plus sa Bièvre. Non seulement le ruisseau nauséabond est maintenant couvert depuis bien des années, mais le sinistre passage Moret a presque complètement disparu de la topographie parisienne et, au milieu de cette année, les fameux jardins dont la jouissance était réservée aux tisseurs et dessinateurs de la Manufacture des Gobelins, vergers en friche qui, quelquefois, servaient de dépôt d'ordures aux gens du quartier, auront perdu leur aspect de Paradou abandonné. (1937)

...


Un jardin unique en son genre, celui des Gobelins, va être inauguré la semaine prochaine

Paris aura la semaine prochaine un nouveau jardin public, un très beau jardin. Il n’en possédera jamais trop !
Le fait est d’autant plus intéressant que ce nouveau jardin se trouve dans un arrondissement, au reste fort peuplé, le 13e, qui, il y a encore un an, ne possédait pas le moindre square. (1938)

...

 paris-treizieme.fr —Le massacre des Dominicains (récit de l'abbé Grandcolas)
Partager sur Twitter

Le massacre des Dominicains

25 mai 1871

L’Illustration — 3 juin 1871
Gravure parue dans L'Illustration

On sait que les sauvages du régiment Delescluze ont fusillé un à un les Dominicains qu'ils avaient faits prisonniers. Le récit suivant de cette infamie par un Père échappé au massacre a été adressé à M. Vrignaud du Bien public :

« Le vendredi 19 mai, un membre de la commune suivi du gouverneur de bicêtre et du sieur Cérisier(*) à la tête du 101e bataillon fédéré s'est présenté à l'école Albert-le-Grand vers quatre heures et demie du soir et nous a tous emmenés : les religieuses à la préfecture de police, et plus tard à Saint Lazare ; les pères dominicains, les professeurs et les domestiques du collège, au fort de Bicêtre où l'on nous a jetés dans une casemate, après nous avoir dépouillé de tout, et même de nos bréviaires.

« Jeudi dernier 25 mai vers huit heures du matin au moment où la garnison quittait le fort en toute hâte un officier est venu nous dire : « vous êtes libres ! seulement, nous ne pouvons vous laisser entre les mains des Versailles et il faut nous suivre aux Gobelins, ensuite, vous irez dans Paris où bon vous semblera ».

« Le trajet fut long et pénible, des menaces de mort étaient à tout instant proférées contre nous par la populace. Arrivés à la mairie des Gobelins, on ne veut plus nous laisser libre

« Les rues ne sont pas sûres, nous dit-on, vous seriez massacrés par le peuple. » D'abord, on nous fait asseoir dans la cour intérieure de la mairie où pleuvait les obus ; puis un nouvel officier arrive et nous mène à la prison disciplinaire du secteur avenue d'Italie, 38. Dans l'avenue, nous apercevons le 101e  avec son chef, le sieur Cerisier. Nous étions ces prisonniers.

L'homme en chemise rouge fut identifié pour être Isidore Boin dit "Bobèche", condamné à mort le 17 février 1872 par le 6e conseil de guerre, et exécuté le 25 mai.

« Vers deux heures et demie, un homme en chemise rouge ouvre fréquemment la porte de la salle où nous étions enfermés, il nous dit : « Soutanes, levez-vous, on va vous conduire aux barricades. » Nous sortons. À la barricade, les balles pleuvaient avec une telle intensité que les insurgés l’abandonnèrent.

« On nous amène la prison disciplinaire sur l'ordre du colonel Cérisier. Nous nous confessons une dernière fois, et le père prieur nous exhorte tous à bien mourir.

« À quatre heures et demi environ, nouvel ordre du sieur Cérisier. Cette fois nous partons tous — pères professeurs et domestiques — entourés par les gardes du 101e qui chargent devant nous leurs armes. Àà la porte extérieure de la prison, le chef du détachement nous crie  :

— Sortez un à un dans la rue !

« Puis le massacre commence. J’entends le père dire :

— « Allons, mes amis, pour le bon Dieu.

Et c'est tout.

« J'ai survécu avec quelques professeurs et domestiques à cette épouvantable fusillade. Une balle avait traversé mon pardessus sans m'atteindre. Grâce à elle, j'ai pu me jeter dans une maison ouverte sans être vu. Là, une femme fit prendre à la hâte les vêtements de son mari, et je restais chez elle jusqu'au moment où arrivèrent les soldats du 113e de ligne qui me reçurent dans leurs rangs avec le plus grand empressement. Un chef de bataillon dont je regrette de ne pas savoir le nom me donna même un sergent et quelques hommes pour aller reconnaître nos chères victimes.

« Vous savez le reste. Nous n'avons pas retrouvé le corps du père Captier, prieur de l'école Albert-le-Grand et je conservais l'espoir qu'il aurait pu, comme moi, se sauver.

Hélas ! lui aussi, une des plus belles et les plus nobles intelligences de son temps, il était massacré.

«  Je n'en pouvais plus. Hier un des survivants M. Résilliot, accompagné d'un jeune homme, M. Barraly, qui nous avait offert ce service avec le plus louable empressement, se rendit aux Gobelins pour réclamer les corps recueillis la veille par les bons frères des écoles ; là ils trouvèrent M. le maire et M. le curé d'Arcueil déjà prévenu ainsi que l'abbé Delare, aumônier de l'hôpital Cochin

« Les corps (douze en tout) furent transportés dans la soirée à l'école Albert-Le-Grand, par permission express du maréchal Mac Mahon.

« L'abbé Grandcolas,
10 rue Mézières, hôtel Samson.

(*) L'orthographe du texte original a été respectée. Il s'agit bien évidemment de Marie Jean-Baptiste Serizier, fusillé à Satory le 25 mai 1872 pour ces faits parmi d'autres.



Le 13e avant et durant la Commune
(18 mars - 28 mai 1871)

Après l'armistice, 28 janvier - 17 mars 1871

A travers Paris

  • L’ambulance mobile de la Maison-Blanche
  • La question des victuailles (Le Siècle, 8 février 1871)
  • A travers les rues bombardées (Le Siècle, 16 mars 1871)

L'affaire des Gobelins

  • Proclamation du ministre de l’Intérieur aux habitants de Paris (4 mars 1871)
  • Les faits selon le Bien Public (6 mars 1871)
  • Lettre adressée au Cri du Peuple (9 mars 1871)
  • Proclamation d'Emile Duval (Le Rappel, 9 mars 1871)
  • Les canons de la place d'Italie (La Liberté, 9 mars 1871)
  • L'opinion du Figaro (11 mars 1871)
  • A travers le 13e arrondissement (11 mars 1871)
  • Les canons de la Barrière d’Italie (Le Bien public — 17 mars 1871)
  • La question des canons (L'Illustration, 18 mars 1871)

Démission de M. Pernolet, maire du 13e

  • Démission de M. Pernolet, maire des Gobelins (Le Figaro, 7 mars 1871)
  • Un maire bourgeois (Le Cri du Peuple, 8 mars 1871)
  • Gazette nationale ou le Moniteur universel, 13 mars 1871
  • La proclamation de M. Pernolet

Sur le 13e arrondissement

  • Le Figaro, 8 mars 1871

Du 18 mars au 20 mai

Journée du 18 mars

  • La journée du 18 mars sur la rive gauche (Gazette nationale ou le Moniteur universel — 20 mars 1871)

Les élections du 26 mars

  • Compilation

Journée du 5 avril

  • Les renseignements du Bien public du 6 avril 1871

Journée du 12 avril

  • Arrestation des principaux chefs d’industrie (Le Bien public, 16 avril 1871)

Journée du 14 avril

  • La situation (Le Bien public, 14 avril 1871)

Journée du 19 avril

  • Obsèques des gardes nationaux tués au combat d'Asnières
  • La journée dans le 13e vue par Le Siècle

Journée du 4 mai

  • La barrière d'Italie vue par Le Siècle

Journée du 6 mai

  • La Butte-aux-Cailles vue par le Petit-Journal

Du 21 au 28 mai

Journée du 24 mai

  • Récit de La Patrie (28 mai 1871)

Journée du 25 mai

  • Récit de La Patrie (28 mai 1871)
  • Récit du Temps (31 mai 1871)
  • Extrait du rapport sur les opérations de l'armée de Versailles, depuis le 11 avril, époque de sa formation, jusqu’au moment de la pacification de Paris, le 28 mai.

L'incendie des Gobelins (25 mai 1871)

  • L’incendie des Gobelins (Les dégâts)
  • L’incendie des Gobelins (Le Monde illustré)
  • L’incendie des Gobelins (L'Illustration)
  • L’incendie des Gobelins (Séance de l'Académie des Sciences)

Le massacre des Dominicains d'Arcueil

Les faits

  • Le massacre des Dominicains, récit de l'abbé Grandcolas (L'Illusttration, 3 juin 1871)
  • Les Dominicains d’Arcueil (Maxime Du Camp, Les convulsions de Paris)

Le procès (à venir)

  • Ouverture du procès : rapport du capitaine Leclerc
  • Rapport du capitaine Leclerc, suite, journée du 25 mai
  • Audition de Serizier (personnalité)
  • Audition de Serizier (interrogatoire au fond)
  • Audition de Boin
  • Audition de Louis Lucipia
  • Audition de Jules-Constant-Désiré Quesnot
  • Auditions de Gironce, Annat, Rouillac et Grapin
  • Auditions de Busquaut, Gambette, Pascal

Les églises du 13e durant la Commune

  • Saint-Marcel de la Maison-Blanche (Chapelle Bréa)
  • Saint-Marcel (Boulevard de l'Hôpital)
  • Notre-Dame de la Gare
  • La chapelle Bréa (Extrait des convulsions de Paris - Maxime Du Camp)
  • La chapelle Bréa (La Croix - 12 février 1939)

Après la Commune

  • Biffins et sacquiers (Le Petit-Journal, 9 juillet 1871)
  • La prison de l’avenue d’Italie (1872)
  • Sur la barricade de la rue Baudricourt (1873)
  • Le monument Duval (Le Temps - 8 juin 1891)

Dans la presse...


Rue Baudricourt

Il est question d'élargir et de régulariser la rue Baudricourt, à Ivry. C'est dans cette rue, on ne l'a pas oublié, qu'eut lieu, le 25 mai de la Commune, une résistance désespérée. Il y avait là, entre autres moyens de défense, une énorme barricade... (1873)

Lire la suite


La Mie de Pain

Dans l’un des quartiers les plus déshérités de Paris, au delà de la place d’Italie, derrière la Butte-aux-Cailles, voici quinze hivers que, par l’inlassable dévouement d’un homme de bien, la Mie de Pain vient en aide à des milliers et des milliers de malheureux. (1906)

...


Le puits artésien de la Butte-aux-Cailles

Le puits artésien de la butte aux Cailles, dont nous n'avions pas visité le chantier depuis l'année dernière, est arrivé maintenant à une profondeur de 75 mètres, c'est-à-dire à 13 mètres 50 au-dessous du niveau de la mer. (1865)

...


Un nouveau dispensaire

Les habitants du XIIIe arrondissement viennent d'être dotés d'un dispensaire spécial pour enfants malades.
Édifié par les soins de la Société philanthropique, cet établissement est dû à la générosité de Mme Edouard André. Il se trouve, 4, rue Jean-Marie-Jégo. Pour ceux qui ne connaissent pas cette rue nouvelle et qui n'est inscrite dans aucun, indicateur, disons qu'elle est située près de la place d'Italie, à la jonction de la rue de la Butte-aux-Cailles et de la rue du Moulin-des-Prés. (1889)

...


L’enterrement de Blanqui

Ce n'est qu'hier soir, à six heures, que l'administration des Pompes funèbres a été informée, par la mairie du treizième arrondissement, de l'heure officielle des obsèques de Blanqui et de la classe choisie par la famille, pour le corbillard et les tentures. (1881)

...

Saviez-vous que... ?

Le point culminant du sol naturel du 13e arrondissement dépasse légèrement les 63 mètres. Il est situé au milieu de la rue Vandrezanne. Le point le plus bas est sur les quais de Seine à proximité du pont National. Si l'on prend en compte les espaces situés au delà du périphérique, le point culminant serait situé avenue de la porte de Gentilly en lisièse de cette commune. Les prés submersibles de la Glacière étaient à une côte moyenne de 35,80 mètres.

*
*     *

Le pont National, oeuvre des ingénieurs Couche et Petit, a été achevé en 1853. Il portait initialement le nom de pont Napoléon III.

*
*     *

Avant de recevoir le nom de Paul Verlaine en 1905, la place Paul Verlaine était tout simplement appelée place du puits artésien.

*
*     *

La voie romaine allant de Lutèce à Lugdunum légua son tracé à l'avenue de Choisy. En juin 1906, à l'angle de la rue de la Vistule, on mit à jour cette voie romaine sur une longueur de 14 mètres et une largeur de 8 mètres et l'on vit son pavage formé par deux rangées de moellons bruts superposés avec des joints contrariés.

L'image du jour

Boulevard Arago vers le carrefour des Gobelins

La création du boulevard Arago fut décidé dans les années 1850 comme moyen de développement du 12e arrondissement d'alors et comme une branche du grand boulevard Saint-Marcel reliant les chemins de fer de Lyon et d'Orléans avec le chemin de fer de l'Ouest et toute la partie sud-ouest de Paris. Ce devait être une voie de 40 mètres de largeur bordée d'une double rangée de plantation traversant "un désert d'immenses terrains vagues qui s'animera et se peuplera très promptement".
Le nom de la voie initialement retenu était Boulevard de la Santé.  ♦

© paris-treizieme.fr pour la transcription du texte

Dimanche 1er octobre 2023

HISTOIRE DES QUARTIERS

  • La Salpêtrière
  • La Gare
  • Maison Blanche
  • Croulebarbe

ACCES PAR NOM

  • Nomenclature des rues
  • Liste des auteurs

LES DRAMES DU 13e

  • Le drame de la rue Albert
  • Le drame de la rue de l'Espérance
  • Le drame de la rue Vandrezanne
  • Le drame du quartier de la Gare
  • Un drame du terme
  • Tous les drames...

LE TREIZIÈME AVANT LE 13e

  • Le Petit-Gentilly (1820)
  • De la difficulté d’être le treizième arrondissement
  • La bergère d'Ivry (1827)
  • L'abattoir de Villejuif (1812)
  • Sommaire complet

LE TREIZIÈME EN 1860

  • Notice administrative, historique et municipale sur le XIIIe Arrondissement par Ph. Doré fils

ACCÈS THÉMATIQUES

  • L'aménagement du 13e
  • Les grandes voies du 13e
  • La petite ceinture dans le 13e
  • Le Métropolitain dans le 13e
  • Les tramways dans le 13e
  • La gare d'Austerlitz
  • Le puits artésien de la Butte-aux-Cailles
  • La place d'Italie
  • La cité Doré
  • La cité Jeanne d'Arc
  • Le passage Moret
  • L'asile Nicolas-Flamel
  • Les hôpitaux de la Pitié et de la Salpêtrière
  • Les fouilles archéologiques dans le 13e
  • Le Siège de Paris (1870-71)
  • Le 13e sous la Commune
  • La catastrophe de la rue de Tolbiac (20 oct. 1915)
  • Le jardin des Gobelins
  • La manufacture des Gobelins
  • La "Folie Neubourg"
  • Le marché aux chevaux
  • Les grandes eaux du boulevard Kellermann
  • Ateliers, fabriques et petits métiers du XIIIe
  • Chiffons et chiffonniers
  • Cabarets, bouges et assommoirs
  • L'épidémie de la Maison-Blanche (1890)
  • Les étrangleurs des Gobelins
  • Sur les communes limitrophes
  • La zone dans le 13e

VIDÉOS

  • Auguste Lançon et le 13e
  • Marville, la rue de Tolbiac
  • Quai de la Gare, janvier 1910
  • La place Nationale
  • Le marché aux chevaux

L'image du jour


Le feuilleton


A propos de ce site

Mentions légales

Politique de confidentialité

Recherche

Contact


© paris-treizieme.fr 2010-2023

Suivre @ParisTreizieme