UNE ÉVOCATION DU 13e ARRONDISSEMENT DE 1860 AUX ANNÉES 30

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Une évocation du 13e arrondissement de 1860 aux années 30

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Sur la Bièvre...

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La Bièvre à Paris

Gazette nationale ou le Moniteur universel (8 avril 1855)

Ce qu'il faut savoir sur la Bièvre

Dictionnaire de la conversation et de la lecture : inventaire raisonné des notions générales les plus indispensables à tous (1859)

Paris qui s'en va

A. Hermant (1865)

Les égouts et la Bièvre !

Le Siècle (14 janvier 1867)

La canalisation de la Bièvre !

Le Siècle (30 mars 1867)

La Bièvre — Un enfant asphyxié !

Le Droit (6 avril 1871)

Les eaux de la Bièvre !

Le Temps (7 décembre 1875)

La Bièvre

Charles Frémine (Illust. Auguste Lançon) (1876)

La Bièvre

Gazette Nationale ou le Moniteur universel (1877)

Le canal latéral de la Bièvre

Le Petit-Journal (1878)

Les berges de la Bièvre

Le Siècle (1878)

La Bièvre (in Croquis parisiens)

J.K. Huysmans (1880)

Pauvre Bièvre !

Le Rappel (1883)

L'empoisonnement de Paris

Le Petit-Parisien (1884)

La Bièvre

J.K. Huysmans (1886)

La Bièvre

Lucien Victior-Meunier (Le Rappel - 1887)

La Bièvre

Le Petit-Journal 22 septembre 1887)

La Bièvre

L'Intrangisant (1890)

La Bièvre

Alfred Ernst (1890)

Aux bords de la Bièvre

Rodolphe Darzens (1892)

La disparition de la Bièvre

Le Journal des débats politiques et littéraires (1893)

Le curage de la Bièvre

Le Soleil (1894)

La disparition de la Bièvre

Le Petit-Journal (1894)

La Bièvre

L'Intransigeant (1895)

La Bièvre

G. Lenotre (1896)

La Bièvre déborde

Pierre Véron (1897)

La Bièvre

Louis Sauty (1898)

Au bord du passé

Henri Céard (1898)

La Bièvre et ses bords

Le Figaro (1899)

Paris sur la Bièvre

Henri Céard (1900)

La Bièvre

Gustave Coquiot (1900)

Les colères de la Bièvre

La République française (1er juin 1901)

Le ruisseau malin

La République française (2 juin 1901)

A propos de la Bièvre

Le Temps (9 juin 1901)

La Bièvre (Le vieux Paris)

Paris (1902)

La Bièvre (Paris qui s'en va)

Gustave Coquiot (1903)

La fin d'une rivière

Le Rappel (1904)

La Bièvre

La Petite République (1904)

Le long de la Bièvre

Georges Cain (1905)

Autour de la Bièvre

Georges Cain (1907)

La perdition de la Bièvre

Adrien Mithouard (1906)

La couverture de la Bièvre

A.-J. Derouen (1907)

Le danger de la Bièvre

Le Petit-Journal (1908)

Un voyage à l'île des singes

Raymond Lecuyer (1908)

Le dernier soupir de la Bièvre

F. Robert-Kemp (1909)

La Bièvre

Albert Flament (1911)

La fin de la Bièvre

Léon Gosset (1911)

Pauvres ruisseaux

F. Robert-Kemp (1912)

La rivière perdue (Léo Larguier)

Le Journal des débats politiques et littéraires (1926)

La Bièvre et la fête des fraises (Gustave Dallier)

Le Petit-Journal (1926)

Les fantaisies de la Bièvre

Léon Maillard (1928)
 La Bièvre - G. Coquiot - 1900

La Bièvre

Gil-Blas — 7 octobre 1900

C'est la fin très prochaine de la petite rivière putride, mais illustre. Partout on la recouvre, on la cache, et bientôt il ne restera plus aucun vestige du pittoresque terrible de ses rives.

La Ville de Paris lutte présentement contre les derniers mégissiers qui veulent garder quand même quelques biefs de la menue rivière. Où la Ville a triomphé, les ingénieurs ont été vite en besogne. Par une belle journée, je suis allé rue Croulebarbe, et si cette rue d'extrême province est restée à peu près telle qu'au temps des premiers peaussiers, la Bièvre est ici désormais voûtée.

Couverture de la Bièvre, rue Croulebarbe en 1898
Auteur anonyme - CC0 Paris Musées / Musée Carnavalet - Histoire de Paris

On ne la voit plus pustuleuse et rouge, baignant les pierres disjointes des vieux murs ; et elle manque au grand verger qu'elle longeait, à ce paysage d'usines, de magasins et d'estaminets. Tous les gosses de ce quartier, qui abondamment enfante, se réjouissaient de jouer aux billes sur son étroite berge ; quelquefois même, de vieilles femmes se hasardaient à tremper du linge dans ce purin ; et c'était, cette Bièvre, la rivière aimée du quartier. On ne sait plus où aller maintenant, et il vient tout à coup des scrupules de propreté et d'hygiène ; on lave et on blanchit les bâtisses ; on met des persiennes là où des toiles pendaient, tout l'an, à la pluie et au soleil.

Mais l'odeur forte des cuirs, le ronflement des machines, c'est la vie d'hier continuée, ruelle des Gobelins et passage Moret. La Bièvre reparait là, honteuse et puante, des peaux macèrent dans un jus de vendanges souillées; des êtres coiffés de bonnets, secouent des poussières blanches, une neige perpétuelle ; et les masures bombent et chancellent, tandis qu'au bout de longues perches, des cuirs se balancent et pendent comme des oriflammes.

Ah ! ici, vraiment, l'odeur n'est point louable. On comprend, ma foi ! que des quartiers entiers geignent contre la Bièvre et réclament sa fin. C'est de l'écume rougie de plomb, de la puanteur de charnier. Et ce qui émerveille, c'est de voir alors des cottages installés là de mégissiers, des pavillons pimpants, ornés de fleurs et pavoisés d'arbres. On se dit qu'ils sont très étonnants ces gens qui font industrie de moutons mégissés et d'agneaux de couleurs, ces gens qui peuvent vivre enfin.et aimer dans de si pestilentiels relents.

Ah ! d'avoir si peu d'odorat, les mégissiers en avaient bien profité, en la captant résolument, la Bièvre. Mais, quoiqu'il en soit, ses derniers jours et leurs derniers jours sont également comptés.

Ils ne l'auront plus rue Barrault et jusqu'à la porte de Gentilly. Sur tout ce tracé, la suprématie de la Bièvre est faite ; on a remblayé, on a tracé des rues.

Le bon voyage d'autrefois à refaire, pourtant bien qu'on sache à quoi s'en tenir ; le voyage tout le long de cette merveilleuse rue Barrault, toute verdoyante de jardinets; la rue d'où l'on voit la ville; la vue des frondaisons aperçues du parc de Montsouris ; la rue d’où l'Observatoire mauresque du parc complète là-bas le décor bouffon d'un invraisemblable Alger !

Mais des esprits facétieux ont aussi changé les noms des rues : la rue du Pot-au-Lait s'appelle maintenant la rue Brillat-Savarin ; heureusement, je retrouve intactes les ruelles de la Fontaine-à-Mulard et des Peupliers.

Autrefois la Bièvre fluait là, un peu moins putride, un peu moins lasse. Des peupliers, des floraisons de jardinets l'égayaient et des saules bordaient ses rives. C'était aussi, tout autour d'elle et au-dessus d'elle, le va-et-vient des trains qui roulaient; et, avant d’être prise par les négociants parisiens, elle s'attardait au tapage des lavandières. Les jardinets seuls, maintenant, demeurent, tressautant au sifflet des locomotives, et harcelés, bêchés, ratissés sans trêve pour hâter la gloire des soleils et des courges.

Mais, doit-on se dire, quelqu'un fixât-il ces aspects de la Bièvre pour l'histoire dessinée de Paris ?

Au musée de la Ville de Paris, il y a bien sur ce sujet de nombreuses estampes ; mais peu, à vrai dire, comptent.

Car le plus souvent c'est une suite de croquis enfantins et niais, et la peine ne vaudrait pas de les aller voir, s'ils n'étaient heureusement accompagnés de quelques vieux documents, tels que le plan d'Olivier Truschet et Germain Hoyau, si curieux et si naïf, ou de cette planche : l'église Saint-Victor, - par Sylvestre, à laquelle on peut joindre encore les précises et divertissantes eaux-fortes de Zeeman.

Les graveurs et dessinateurs Schrœder, Deroy, Péquégnot, Chauvet, Tangny, Trimolet, représentèrent bien à des époques diverses (de 1828 à 1889), la Bièvre ; mais ils le firent sans talent, surtout sans entente des sites. Encore les eaux-fortes et lithographies de Shrœder et de Deroy, sont-elles à la rigueur, curieuses, d'un poncif plaisant et vieillot, mais les œuvres des Chauvet et des Tanguy sont tout bonnement vaines.

Jean-François Raffaëlli : Paysage parisien, rue Barrault
CC0 Paris Musées / Musée Carnavalet – Histoire de Paris

Ils ont fait ceux-là des croquis à la Ciceri. Ce sont des mines de plomb rehaussées de gouache, minutieuses et « ratissées ». Je veux croire que ces deux exécutants pour demoiselles qui s'instruisent ne virent jamais la Bièvre, qu'ils présentèrent comme la petite rivière jolie d'un paysage propret. Heureusement Martial Potéinont et Léon Jacques, ces deux aquafortistes avisés, ont accompli, de leur côté, meilleure besogne ; car si le caractère essentiel de la Bièvre leur a échappé, du moins ont-ils rendu en partie la couleur et l'éclat véridique de ses haillons de bâtisses et d'usines, et leurs planches seules, pour tout dire, peuvent s'associer aux très rares dessins qu'exécuta le maître tout désigné de ces choses, mon illustre ami M. J.-F. Raffaëlli, dont une Rue Barrault, en ce moment sous mes yeux, me conte éloquemment la triste et charmante rivière qui fut là, le jus multicolore de son purin et de ses cuves et les physionomies guetteuses, sournoises, des gens que l'on y voyait, tripotant des peaux ou poussant des charrettes le long de cabanes usées, défoncées et crevées par d'implacables destins.

Gustave Coquiot.

Ce texte était précédemment paru dans La Presse en date du 21 septembre 1899


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Les fantaisies de la Bièvre

Léon Maillard (1928)

Saviez-vous que... ?

Dans son numéro du 16 août 1852, la Revue Municipale écrivait :
« Quartier Saint-Marcel. — Les eaux de la Bièvre.
« Depuis quelques mois, le manque d'eau oblige l'Administration à ne renouveler que très-rarement l'eau de la Bièvre, qui devient ainsi de plus en plus infecte.
« Tous les quinze jours, on vide complètement le canal, et l'eau dont on le remplit ensuite n'est qu'une espèce de fumier fluide qui ne peut se comparer qu'aux produits accumulés dans une voirie.
« Lorsque ce renouvellement a lieu, il s'opère avec de l'eau extrêmement corrompue et d'une telle puanteur qu'à l'instant même où ce flot immonde pénètre dans le canal, une odeur de vidange se répand à une grande distance dans la vallée de la Bièvre, et pénètre dans les maisons qui deviennent inhabitables.
« En présence d'inconvénients aussi dangereux, l'Administration doit se hâter de prescrire des mesures de salubrité. »

*
*     *

La Bièvre descend des plateaux de Satory, arrose Buc, Jouy, Igny, Verrières, la Croix de Berny, Antony, Bourg-la-Reine, Arcueil,Gentilly et pénètrait dans l'enceinte fortifiée de Paris par deux ouvertures entre les bastions. Ses deux bras serpentaient ensuite dans les prés de la Glacière et enclosaient ces terrains submersibles qui étaient autrefois le seul skating ring des Parisiens.

*
*     *

Dans la nuit du 5 avril 1579, la Bièvre provoqua de si graves dévastations que le peuple appela cette inondation le « déluge de saint Marcel ».

*
*     *

Le 13 décembre 1892, M. Béchu, porteur aux Halles, demeurant rue Beaudricourt, 28, apportait, au commissariat de M. Perruche, un obus chargé, enveloppé de papier qu’il venait de découvrir, â 5 heures du matin, contre la porte d’une maison rue de Tolbiac, à l’angle du passage du Moulinet.

L'image du jour

La place Pinel

La place Pinel, ex barrière des Deux-Moulins, était un point de passage important dans l'attente de l'achèvement de la rue Jeanne-d'Arc et les rues de Campo-Formio et Esquirol qui en partaient, étaient des axes majeurs pour entrer véritablement dans Paris.

© paris-treizieme.fr pour la transcription du texte

HISTOIRE DES QUARTIERS

  • La Salpêtrière
  • La Gare
  • Maison Blanche
  • Croulebarbe

ACCES PAR NOM

  • Nomenclature des rues
  • Liste des auteurs

LES DRAMES DU 13e

  • Le drame de la rue Albert
  • Le drame de la rue de l'Espérance
  • Le drame de la rue Vandrezanne
  • Le drame du quartier de la Gare
  • Un drame du terme
  • Tous les drames...

LE TREIZIÈME AVANT LE 13e

  • Le Petit-Gentilly (1820)
  • De la difficulté d’être le treizième arrondissement
  • La bergère d'Ivry (1827)
  • L'abattoir de Villejuif (1812)
  • Sommaire complet

LE TREIZIÈME EN 1860

  • Notice administrative, historique et municipale sur le XIIIe Arrondissement par Ph. Doré fils

ACCÈS THÉMATIQUES

  • L'aménagement du 13e
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  • L'épidémie de la Maison-Blanche (1890)
  • Les étrangleurs des Gobelins
  • Sur les communes limitrophes
  • La zone dans le 13e

VIDÉOS

  • Auguste Lançon et le 13e
  • Marville, la rue de Tolbiac
  • Quai de la Gare, janvier 1910
  • La place Nationale
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